- BIENVENUE SUR LES
PAGES SPECIALES DE TORERIA.NET
L'HEBDOMADAIRE INTERNET DE LA
TAUROMACHIE
- LES
NOUVEAUTES LITTERAIRES ET TAURINES
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- "Corrida"
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- Ce livre est un hommage
photographique à l'univers de la
tauromachie. Un des rares signé
par une femme : la photographe
Anya Bartels
Suermondt. Chez
YB
Editions
- L'ouvrage
présente 380 de ses photos,
prises au cours de 5 dernières
années en Espagne, en France,
mais aussi en Amérique du Sud.
La photographe allemande est la
première femme à avoir
obtenu carte blanche pour photographier
les élevages de taureaux de
combat et les matadors, sur la route,
dans l'intimité de leurs
préparatifs, dans leurs
prières, avant leur
entrée dans l'arène...
Elle offre un regard neuf en posant son
oeil de femme et sa sensibilité
sur un monde d'hommes.
- Les textes qui
accompagnent les photos sont
variés. Ils sont signés
d'amoureux des oeuvres d'Anya, tels que
Diego Cigala, le prix Nobel Peter
Englund, le réalisateur Kristian
Petri, le peintre Paul Simonon, le
scénariste hollywoodien Peter
Viertel...
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- Vingt ans vêtu
d'or : Enrique Ponce.
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- " Fils d'or, fils de
soie, fils de la bave du toro, fil de
l'épée, fil de la
conversation et ici, de la plume. Le
torero marche sur un fil. Il peut en
dégringoler à tout
instant. Ce fil est paradoxal. Il est
fragile et solide à la fois. La
finesse du toreo d'Enrique Ponce donne
cette impression de tirer
l'éléphant par un cheveu.
En même temps quand, dans
l'ouvrage de Jacques
Lavignasse, on
prend conscience de l'étendue de
sa carrière, de l'ampleur de son
parcours et la robustesse de son
professionnalisme, on se dit que ce
cheveu, ce fil est plus
résistant, plus endurci que les
filins tressés des premiers
rangs des barreras. Ce livre explique
ce qu'on ne voit pas quand on voit
toréer Ponce... " -
Jacques
Durand. Cet
ouvrage fait suite à celui du
même auteur consacré au
torero, paru en 2002, également
chez Atlantica, et dont il suit
scrupuleusement la carrière
comme on poursuit un rêve
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- Rouge de
muleta
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- Le dernier roman de
François
Baju aux
Editions
Cairn. Les
villages blancs d'Andalousie renvoient
des ombres fulgurantes d'un mur
à l'autre. Chaque passant se
laisse perforer de ces traits
impalpables, perçants comme des
flèches empoisonnées mais
jamais mortelles à la
première piqûre. Et dans
ce paysage étrangement venimeux,
comment devenir torero. Français
ou espagnol, le jeune apprenti se cogne
à des bêtes montrant la
longueur du chemin des sueurs froides
du bout de leurs cornes-poignards. Ils
ne se méfient pas assez. Les
vacheries viendront plus des humains,
de leurs entourages intrigants. Toutes
les bonnes volontés, les vertus
altruistes et les exemplarités
tomberont dans la fosse. Quoiqu'il
advienne ! La sueur née des
pires intentions sent l'aigre. Les
gouttes perlant aux fronts vertueux
gardent le goût du mauvais sel.
Le "mundillo" ne se tient pas en
pitié. Et si en plus les femmes
et la police s'en mêlent!
-
- D'un taureau
l'autre
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- D'un
taureau, l'autre La tauromachie dans
tous ses états
- Par leur
diversité, les pratiques
taurines et les approches culturelles
qui y sont liées ouvrent un
large champ de réflexion. Des
personnalités de toutes les
disciplines, universitaires, praticiens
ou artistes ont ainsi contribué
à enrichir ces perspectives. Le
propos de ce colloque emprunte la
double direction de la disparité
et des constantes, pour tenter de
définir les enjeux actuels de la
tauromachie.
- Préfacées
par Annie Maïllis et Francis
Wolff, les différentes
contributions ici rassemblées
explorent les temps, les lieux et les
sens des différentes pratiques
liées au taureau aux
Editions
du Diable Vauvert
- -José Carlos
Arévalo : " Toro et torero dans
la dialectique esthétique de la
tauromachie " -Catherine
Bernié-Boissard : "Tauromachies,
une histoire de territoires " -Jacques
Durand : " Le torero est un
paratonnerre " -Victor Gomez-Pin : "
Hombria et tauromachie, le toreo,
essence de la vaillance " -Araceli
Guillaume-Alonso : " Corrida et
histoire : la part du cheval "
-Jean-Pierre Hédoin : " Aficion
et mémoire "
- -Annie Maïllis : "
Picasso, le toro et le banderillero "
-Jean-Baptiste Maudet : " Les
différents espaces de la
tauromachie " -Marion Mazauric : "
Littérature et tauromachie "
-Alain Rodier : " Le combat du
cocardier dans la course camarguaise "
-Jacky Siméon : " Toreros et
raseteurs. Paroles de raseteur "
-Francis Wolff : " L'histoire du toreo
a-t-elle un sens ? " -François
Zumbiehl : " Le discours taurin : du
présent au passé
-
Le sens de la
marche
-
-
-
- C'est le titre du
nouveau livre d'Alain
Montcouquiol qui
vient de paraître aux
Editions
Verdier
- En 1997 paraissait dans
la collection 'Faenas' un livre
bouleversant, Recouvre-le de
lumière, dans lequel Alain
Montcouquiol racontait la vie et la
mort de son jeune frère, le
torero français NimeñoII.
Ce chant au frère, et à
cette étrange passion des
'toros', connut un sort exceptionnel:
plus de quinze mille exemplaires
vendus, et une adaptation
théâtrale que le
comédien Philippe Caubère
joua dans les arènes et sur les
scènes de toute la France. Dans
ce second livre, 'Le Sens de la
marche', Alain Montcouquiol revient sur
l'aventure de sa vie, et sur ce monde
si étrange de la tauromachie,
cruel et magnifique, un des rares qui
permette à un gosse des
faubourgs de s'inventer une vie aux
dimensions de la liberté
rêvée. A découvrir
absolument.
-
- La Belle Époque
de la corrida
-
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-
- De Jean-Louis
Lopez,
Préface de FranÇois
Zumbielh, paru aux Editions de
Paris sera en
librairie le 20 mai
- Le Petit Journal, qui
parut entre le Second Empire et la
Deuxième Guerre mondiale publia,
chaque semaine, de 1880 à 1937,
un Supplément Illustré
qui est, à sa façon,
l'ancêtre des magazines
d'aujourd'hui dits " à sensation
". Parmi les 2400 numéros qui
virent le jour et qui traitent de
thèmes très variés
illustrant l'actualité et la vie
de l'époque, la tauromachie
occupe une place importante.
- À travers de
nombreuses couvertures du Petit Journal
mais aussi d'autres journaux de
l'époque (Le Petit Parisien, Le
Petit Méridional, La Croix
illustrée, l'Illustration, Le
Rire, L'Assiette au beurre, Le Grelot,
L'Eclipse, La Caricature, Le Pilori, le
Don Quichotte…), on découvre
l'importance du taureau dans la presse
populaire. Elle se fait l'écho
de l'essor étonnant de la
corrida en France à la fin du
xixe siècle qui, au-delà
de Nîmes, Arles ou Dax… va gagner
tout le territoire, de Roubaix à
Marseille, de Lyon au Havre, de Dijon
à Limoges, de Paris à
Bordeaux… Dans la presse, le taureau
est fêté en même
temps qu'il inquiète. Entre
spectacles et personnalités,
accidents et dramatisation, humour et
folklore, arène politique et
détournement patriotique, il est
omniprésent.
- Ce livre, qui
réunit plus de 100 illustrations
en couleur, commentées par
Jean-Louis Lopez, souligne
l'ancienneté de la corrida en
France et traite de son histoire et de
ses démêlés avec
ses opposants. Insistant sur son impact
médiatique, Jean-Louis Lopez
aborde également l'histoire de
la presse populaire et des
progrès technologiques qui
favorisèrent son essor et sa
diffusion, le tirage du Petit Journal
atteignant, en 1890, un million
d'exemplaires.
- Un ouvrage qui ravira
les collectionneurs comme les
aficionados et révélera
aux lecteurs un aspect méconnu
de la tauromachie.
- Professeur d'espagnol,
Jean-Louis Lopez a été
rédacteur en chef de la revue
Corrida, collaborateur taurin de
plusieurs quotidiens, de Canal Plus, et
aujourd'hui de France 3. Il est
également l'auteur d'une dizaine
d'ouvrages consacrés à la
tauromachie.
- La tauromachie à
Vichy, Histoire d'une
adaptation
-
-
-
- Un livre de
Philippe
Lavastre
edité par l'Union des Bibliophiles
Taurins de France
- L'histoire de la
corrida en France recèle bien
des surprises. Les taureaux ont
foulé le sol de nombreuses
villes, souvent improbables, avant de
se fixer définitivement dans les
régions les plus
méridionales du pays. Sur la
carte taurine Vichy est une exception.
Des spectacles s'y déroulent
jusqu'en 1991, et l'auteur de cet
ouvrage peut conclure : La corrida
à Vichy n'a pas seulement
été un spectacle parmi
d'autres durant la saison, une
attraction de plus pour les curistes en
mal de distractions. La tauromachie
n'est pas apparue par hasard sur les
bords de l'Allier et son
évolution et sa
pérennité sont le
résultat d'une adaptation forte
aux contraintes locales.
- On trouvera ici, non
seulement le récit d'un
siècle de courses de taureaux
vichyssoises, avec toutes les
péripéties de plus de
deux cent cinquante spectacles, mais
surtout une tentative d'explication :
La question essentielle est de
comprendre comment cette tradition a pu
rester aussi forte et perdurer pendant
toutes ces années. Quels sont
les ressorts de l'implantation d'une
tradition taurine locale ? Quels sont
les éléments qui
expliquent sa persistance durant un
siècle ? Comment cette histoire
singulière s'articule-t-elle
plus largement avec celle de l'histoire
de la tauromachie en France ?
- L'auteur est un
historien, ancien membre de la Casa de
Velázquez, et a
déjà écrit pour
l'UBTF l'Histoire de la tauromachie
à Alès en
Cévennes.
-
Le coq et le
taureau
-
-
-
- De Robert
Zaretsky, traduit
de l'americain par Cecile Hinze et
David Gaussen paru aux
Editions
Gaussen. Ou
comment le marquis de Baroncelli a
inventé la Camargue.
- Au milieu du
XIVè siècle,
infestée de moustiques, la
Camargue est un marais qui n'inspire
guère confiance. Quant aux
courses de taureaux dont les habitants
sont férus, ils passent pour des
jeux barbares, ferments des
séditions. Un siècle et
demi plus tard, la sauvegarde de la
Camargue "symbole de la France" est un
enjeu national et, chaque année,
les férias attirent un public de
plus en plus large.
- Dans le mouvement qui a
amené ce changement de
perception, un homme se distingue : Lou
Marques Folco de Baroncelli, disciple
indiscipliné de
Frédéric Mistral. Pour
"inventer" la Camargue, il utilise des
traditions avérées, mais
en fabrique aussi de toute
pièce, s'inspirant en
particulier du Wild West Show de
Buffalo Bill, dont le passage dans le
midi fut l'occasion de sa longue
amitié avec le Sioux Jacob White
Eyes.
- Surtout, Robert
Zaretsky, historien américain,
montre qu'après avoir
été le tenant d'un
félibrige flirtant avec le
sécessionnisme, il a
intégré le dernier
bastion de l'occitanisme dans la nation
française. A travers le portrait
d'un homme qui a tout sacrifié
à son idéal, l'auteur
propose ainsi une vision du
modèle républicain
où identités locale et
nationale, loin de s'opposer
systématiquement, sont souvent
amenées à se soutenir
l'une l'autre.
- Fondée sur un
examen précis des documents,
cette étude consacrée
à Folco de Baroncelli et au
rôle qu'il a joué dans la
préservation de la Camargue et
dans la constitution d'une
identité forte de ce territoire
autour des cultures taurines a
été publiée aux
Etats-Unis en 2004.
- Aujourd'hui, les
éditions Gaussen publient une
traduction de ce livre, illustré
de nombreux documents d'époque
et précédée d'une
présentation de Mme Sabine
Barnicaud, conservatrice du Palais du
Roure (Avignon), intitulée
Baroncelli, poète en
action
-
Avec le Prix
Hemingway
-
-
-
- Corrida de muerte et
autres nouvelles du Prix Hemingway
2007 aux
Éditions Au diable Vauvert,avec
au Sommaire : - Corrida de muerte de
Robert Bérard, lauréat
2007 - Le rêve du maestro d'Alain
Laborieux - Lidia de la rupture de
Régine Detambel - A
Récibir ! de Jacques-Olivier
Durand - Lessivé de Marc Delon -
A pas de néant de
Françoise Guérin - Mano a
mano de Nadège Vidal - Puntilla
de Jean-Paul Didierlaurent - A cuerpo
limpio de Magali Duru - La confirmation
ou Les maisons de Minos de
Doumée - Pedrito de Pierre
Bordage
-
Lettres à Juan
Bautista
-
-
-
- Un livre
d'Yves
Charnet aux
Editions
de La Table Ronde
- On ne sait jamais
où sont les toreros. Quand ils
ne sont pas au cœur de leur
quête. Pieds joints dans le
cercle de leur folie. Ces lignes
signent le nouveau pacte
littéraire d'Yves Charnet. De
2001 à 2006, il a suivi de
près la carrière de l'une
des grandes figures actuelles de la
tauromachie française, le torero
d'Arles, Jean Baptiste Jalabert " Juan
Bautist ". De la brusque interruption
de sa carrière, en 2003,
à son retour réussi en
2005, l'écrivain assiste
à la métamorphose
consacrant définitivement le
torero lors du triomphal
été 2006 qui culmine, le
15 août à Dax, dans une
légendaire faena sous le
déluge.
- Comme il l'avait
déjà fait avec Maurice de
Guérin, dont le fantôme
romantique hantait son
précédent livre, Yves
Charnet a pris le parti de s'adresser
directement à ce double
fabuleux. Pour approcher
l'énigme de cet étrange
destin consistant à rechercher,
devant les toros, une beauté
jusque dans mourir. À
l'écart des livres habituels sur
la tauromachie, ces lettres constituent
un étonnant (auto) portrait de
l'artiste en torero. Des arènes
du Sud-Est à celles du
Sud-Ouest, ces notes d'un voyage
initiatique sont aussi la
géographie d'une âme.
Elles parviendront à ceux qui se
passionnent pour les choses de
l'arène comme à ceux qui
se demandent de quelle étoffe
les rêves sont faits.
Toréer, écrire : deux
arts réunis dans une même
passion.
-
- Écrits sur les
taureaux
-
-
-
- De Miguel de
Unamuno
Traduction : Virginie
Girard
edité par " Les Fondeurs de Briques
"
- Miguel de Unamuno
(1864-1936) a développé
une oeuvre protéiforme en
résonance avec la situation
politique espagnole au tournant du xxe
siècle. Il fait partie de la
génération de 98.
Destitué (1924) de sa charge de
recteur de l'université de
Salamanque par la dictature de Primo de
Rivera, il fut condamné à
un exil qui le mènera des
Îles Canaries à Paris et
Hendaye. À la chute du
dictateur, Unamuno retrouve son poste
de recteur et est élu
député. Farouchement
anti-franquiste, il est assigné
à résidence avant de
s'éteindre le 31 décembre
1936.
- Ce recueil de 15
articles parus dans la presse
hispanique entre 1896 et 1936, nous
donne le point de vue du philosophe,
figure majeure de la
génération de 98, sur la
" fête nationale espagnole ".
Point de vue sacrilège puisqu'il
rejette le jeu tauromachique comme
symbole de l'hispanité, au
même titre que le flamenco. Au
nom de "l'horreur des chaînes" et
de son rejet de la dictature, Unamuno
se refuse pourtant à interdire
les courses de taureaux (cf. "
L'Inquisition et les courses de
taureaux " ; " Si j'étais
autocrate "). Il n'hésite pas
non plus à se moquer des
interprétations
états-uniennes de la corrida
(cf. " Hors-d'oeuvre yankee ").
- Dans ces chroniques,
reflets de la situation espagnole de
l'époque, Unamuno met l'accent
sur le caractère injuste du
système des grandes
exploitations agricoles, sièges
des élevages de taureaux de
combat, qui prive les paysans de terres
pouvant servir à nourrir le
peuple. Plaçant l'Homme au
centre de sa réflexion, on
retrouve dans ces articles l'esprit
d'indépendance et la virulence
qu'il exprimera contre la dictature de
Primo de Rivera (1923-1930) et qui lui
vaudront l'exil.
-
- La Cape de Mandrake et
autres nouvelles
-
-
-
- Huit nouvelles
d'Antoine
Martin parues
aux Editions
du Diable Vauvert : La cape de
Mandrake,
La méthode au
Gino,
L'Homme qui tua
Ferdinand le Taureau, Le
Matador,
Parle à
Monk,
La donation
Morel,
Pondichéry-Linares, L'Indien des Village
People.
- Toros pacifiques,
toreros ratés mais sympathiques,
toujours juste en deçà
des premières marches de la
gloire, passions extraordinaires de
gens très ordinaires : les
nouvelles d'Antoine Martin mettent en
scène de façon
décalée et
irrésistible des êtres
confrontés à leur passion
exclusive pour le toro brave. S'y
entrecroisent aficionados
fascinés par la gloire mais
héroïques par
mégarde, vaillants de
l'ordinaire cependant prompts au
compromis, parlant haut et se
rêvant plus fort encore…
L'univers taurin n'est ici que
prétexte à mieux peindre,
avec une ironie pleine de tendresse,
une espèce curieuse,
l'humanité, que nos amis les
toros braves contemplent, tel
Ferdinand, avec complicité.
Depuis le grand Dubout, on sait que
l'arène et sa population
constituent un observatoire
privilégié des grandeurs
et servitude humaines : armées
de mots plutôt que de pinceaux,
voilà sans doute des histoires
qu'il n'aurait pas renié
!
- Né exactement
quatre-vingt-seize ans après
Billy the Kid, Antoine Martin vit dans
le Gard. Auteur de plusieurs romans,
figurines littéraires et autres
chefs d'oeuvres domestiques, traducteur
de l'espagnol, du catalan et de
l'italien, il applique un style
ciselé et un humour sans faille
à éviter que la
littérature ne se prenne trop au
sérieux. Depuis toujours
aficionado a los toros, il a
été deux fois finaliste
du prix Hemingway.
-
- Corridas De sang et
d'Or
-
-
-
- Le premier livre de
Marine de Tilly
aux
Editions
du Rocher
- Comme l'art, la
passion, le désir, la corrida se
nourrit de férocité, de
dévoration. Sanguinaire pour les
uns, sublime pour les autres, elle n'a
jamais cessé de fasciner les
écrivains, les peintres, les
musiciens, les artistes en
général. Ébloui ou
écœuré, personne n'est
jamais sorti indemne d'une
arène. Imaginez-vous, ou
souvenez-vous : six toros, trois
matadors, quatre picadors, douze
banderilleros, vingt mille spectateurs,
le silence, l'orgueil, l'honneur, la
peur, et le cœur qui se soulève,
se révolte ou s'enflamme
à chaque seconde…
- La corrida est un choc
pour les sens ; deux heures et demie de
fièvre où chaque
protagoniste provoque l'autre à
en devenir fou, à en mourir ; un
crime passionnel en direct et en public
qu'il s'agit moins de comprendre que de
ressentir. Loin des traités
philosophiques et autres
réflexions théoriques sur
l'éthique de la tauromachie, ce
livre raconte une histoire d'amour, une
histoire de rêve entre un pays et
son symbole, entre un homme et cet
animal sacro-saint né pour le
combat. A travers un geste fatal, une
anecdote insolite, un souvenir
brûlant, le portrait d'une
légende, l'on découvrira
dans ces pages le visage vivant de ce
spectacle héroïque. De la
corrida des bouchers Sévillans
à celles des poètes, de
la plaza de Toros de Madrid aux
arène de Mexico, des lignes
d'Hemingway aux partitions de Bizet, de
Manolete le mystique au prodige Julian
Lopez Escobar, " El Juli ", ce livre
est un voyage au cœur du mythe arrogant
et sensuel de " l'aficion ", où
" l'art de tuer " se fait art de
vivre.
- Marine de Tilly a 27
ans. Critique littéraire au
Figaro, au Point puis rédactrice
en chef adjointe d'une émission
culturelle, elle a vécu
plusieurs années à Madrid
où elle a soutenu sa
maîtrise d'Histoire.
-
- Antonio
Ordoñez
-
-
-
- Un livre
d'Eric
Doladille : La
trajectoire professionnelle du matador
de toros le plus prestigieux de la
seconde moitié du XXème
siècle. Maestro des maestros,
symbole du véritable toreo
classique Antonio Ordóñez
est bien plus qu'une simple
légende. Il est LA
référence tauromachique.
On peut admettre que le seul reproche
qui puisse lui être fait est
celui de son inconstance. Tous les
aficionados auraient voulu qu'il soit
fidèle à lui-même
tout au long d'une carrière
s'étirant sur trois
décennies. Car si celle-ci a
atteint bien souvent des sommets, elle
a également connu des
décrochements dramatiques et des
flottements incompréhensibles.
Maintes fois châtié par la
corne il est revenu chaque fois tel un
Phénix pour délivrer le
toreo le plus classique qui soit. S'il
forma avec Luis Miguel Dominguin un duo
savamment orchestré
décrit par son ami Ernest
Hemingway, jamais sa route ne croisa
celle d'un autre torero adulé
des publics, Manuel Benitez " El
Cordobes ". Aucun autre torero de son
époque ne peut lui être
donné comme rival tant il les
surclassa tous. Fils du Niño de
la Palma, fondateur de la dynastie
représentée encore
aujourd'hui par ses petits-fils
Francisco et Cayetano, il en est
assurément le diamant le plus
éclatant.
- Découvrez la
biographie du célèbre
torero de Ronda avec ce livre.
Disponible uniquement sur le site
www.thebookedition.com au prix de 30.00 euros
T.T.C.
- L'auteur est un
amoureux de l'Andalousie et plus
précisément la
région de Jerez de la Frontera
où il se trempe dans l'ambiance
flamenca. Aficionado a los toros depuis
sa tendre enfance il a occupé la
présidence de la Peña
Antonio Ordóñez de 2001
à 2006. Un voyage à Ronda
en 2005 lui a donné envie de
mieux connaître le Maestro des
maestros. Cette biographie
essentiellement reconstituée
à partir de documents
d'époque en est la
conséquence directe
-
- La féria des
sens
-
-
-
- Un recueil de nouvelles
de Christie-Anne
Chaze.
Edité par Edilivre
- Née à
Nîmes,Ville Romaine,
célèbre pour la
beauté de ses monuments
millénaires, ses courses de
taureaux, et ses Ferias, Ch. Chaze voue
depuis l'enfance une véritable
passion pour l'Art tauromachique,
qu'elle essaie de faire partager dans
sa vie et tout au long de ses
récits et nouvelles. Son ouvrage
" La Feria des sens " a
été primé par le
jury de l'association littéraire
: La Renaissance Aquitaine. …
Au cœur de ces
récits où le courage,
l'amour, la mort, se côtoient
dans un univers fabuleux pour qui en
veut percer les secrets. Leurs
héros vous invitent à
partager leur passion pour les
taureaux, la beauté d'un geste
sur le sable des arènes, la vie…
Laissez-vous tenter et porter tout au
long de ces pages simplement, l'esprit
ouvert pour ceux qui ne connaissent pas
et qui hésitent… Que vous soyez
" aficionado " ou pas, je vous souhaite
une fois le livre refermé, des
milliers de paillettes dorées
incrustées en vous pour
toujours…
-
- Le Guide Hubert de
l'Aficionado 2008
-
-
-
- Sera
présenté lors de la Feria
d'Arles au village des arènes,
comme chaque année et à
la boutique des Passionnés, et
à partir du mois d'avril dans
toutes les librairies (+ Fnac, Virgin,
Carrefour...)
- Le Guide Hubert c'est
240 pages consacrées à
toutes les tauromachies,
essentiellement à la
corrida.
- Il contient - le
calendrier synoptique de la temporada
française - des pages pour
chacune des grandes ferias
françaises - les grandes
arènes espagnoles - toutes les
plazas françaises
classées par ordre
alphabétique
- - 40 pages sur la
corrida - 120 fiches de toreros
classés par matadors, novilleros
et rejoneadors avec l'Escalafon 2007
complet - 120 fiches de ganaderias avec
le fer, la devise, l'ancienneté,
les origines, un commentaire - une
dernière partie de l'ouvrage est
consacrée à toutes les
tauromachies (rejon, recortadors,
encierros, camarguaise, landaise). Un
outil indispensable à
l'Aficionado 2008
-
- Le discours de la
corrida
-
-
-
- Vient de paraître
aux Editions
Verdier. Depuis
plus de trente ans, François
Zumbiehl
fréquente les toreros, les
éleveurs et les aficionados.
Trente ans de conversations
minutieuses, d'écoute
généreuse de plusieurs
générations de
spécialistes de toutes les
écoles, de toutes les
régions d'Espagne.
- Au long de ces
rencontres, il a noté avec soin
les inventions et les détours de
leurs discours, pour comprendre et dire
ce qui ne se raconte pas: la bravoure,
le temple, le duende, l'engagement
inouï d'un enfant qui voue sa vie
au toro sauvage. Écoutons Curro
Romero, Victorino Martin, Roberto
Dominguez …
- L'auteur nous fait
remarquer que le langage taurin
déborde, surtout en Espagne, le
cadre de l'arène et qu'il est
utilisé comme une permanente
métaphore des
péripéties de la vie. Ces
emplois témoignent d'une
conviction plus profonde, reprise par
tant d'écrivains (Hemingway,
Montherlant, Leiris, Unamuno, Machado…)
" La parole offre à
l'étude une matière plus
riche et consistante que le
déroulement de l'action ",
dit-il.À travers l'étude
des mots des acteurs et des
passionnés, de cette langue
originale et inventive, François
Zumbiehl s'approche au plus près
dans ce livre de la
vérité des grands
mystères de la tauromachie,
avant de conclure, " la vie est une
tauromachie
".
-
- Les corridas de Bayonne
s'affichent
-
-
-
- De Pierre
Saüt et
Jean-Louis
Lafarge aux
Editions
Atlantica.
Août 2003. Bayonne
célèbre le 150e
anniversaire de l'introduction de la
corrida en France. En cette occasion,
Jean-Louis Lafarge et Pierre Saüt,
conscients de la richesse documentaire
détenue par les aficionados
locaux, décident de
réunir les affiches bayonnaises
qui font rêver depuis plus d'un
siècle et demi. Après
quatre ans de recherches auprès
de collectionneurs, aficionados, dans
des musées, ils nous livrent cet
ouvrage. Les événements
les plus marquants, souvent
agréables ou amusants, mais
aussi malheureusement quelquefois
dramatiques, sont relatés et
accompagnent les affiches des
années au cours desquelles se
sont déroulées les
corridas.
- Des renseignements sur
les toreros, les élevages, les
spectacles taurins complètent
l'ouvrage.
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- Sang et sève de
torero
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- De Filis-Sol
Vilanova aux
Editions
Bénévent. Née à
Valencia, un mois des roses, Filis-Sol
Vilanova est hantée durant toute
sa vie par cette " Espagne claire que
lui a léguée son
père " et sa nostalgie se
reflète souvent dans son œuvre.
À l'université de
Santander, elle fut élève
de José Hierro († déc.
2002) un des plus grands poètes
espagnols contemporains, lauréat
de tous les prix littéraires
organisés dans son pays, y
compris le Cervantes en 1998. En lui
dédicaçant un de ses
livres, il nomma la poétesse :
Compañera en estas tareas
poéticas. En Belgique, Filis-Sol
Vilanova a enseigné cinq langues
et reste fascinée par leur
richesse littéraire.
- Dans son roman "
Sang et
sève de
torero ", Jaime
Jiménez, brillant et
charismatique torero sévillan,
rêve de fonder une dynastie
taurine. Il rencontre Arielle, une
jeune femme aux cheveux d'argent - sa
fée du Nord - qui
n'apprécie guère le monde
des corridas. Le soleil andalou va-t-il
être le témoin d'un amour
tourmenté qui mène aux
ambitions et espérances
réalisées ?
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- Symboles et Fastes des
Arènes
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- Aux travers des rituels
de la corrida, Micheline
Viseux,
spécialiste de l'histoire du
textile, s'est interrogée sur
l'habit de lumière des toreros.
Véritable oeuvre d'art, chaque
costume est unique. Il se distingue par
ses couleurs et ses motifs et participe
au faste du spectacle tauromachique.
L'incroyable diversité des
nuances et le symbolique des broderies
sont ici analysés. Un entretien
avec Julien Lescarret, dans lequel le
jeune torero nous livre en toute
simplicité ses confidences sur
le choix de ses habits de
lumière, complète cette
étude originale. Micheline
Viseux, documentaliste, assistante de
conservation honoraire du musée
des Arts décoratifs de Paris,
département des textiles, membre
du Centre international d'études
des textiles anciens, est l'auteur de
livres et catalogues d'expositions sur
l'histoire du textile. Symboles et
Fastes des Arènes de Micheline
Viseux est paru aux Editions
Atlantica
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- Matador
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- De Frédéric
Bertin-Denis aux Editions
Bénévent En ce 1er mai,
l'inspecteur Manuel El Gordo ne
décolère pas d'avoir
manqué la corrida du
siècle. Pourtant, avec le recul,
il aurait préféré
qu'elle n'ait jamais eu lieu… De
Cordoue à Madrid en passant par
Barcelone, San Sebastian et Bilbao, il
va poursuivre un tueur en série
très inspiré par les
rites tauromachiques. C'est dans
l'univers codifié de l'art
taurin contemporain que le flic
anticonformiste va devoir affronter un
monstre en quête d'absolu…
- Après des
études de linguistique,
Frédéric Bertin-Denis
enseigne le français en
Corée du Sud, puis revient en
France pour travailler dans un
lycée professionnel. Depuis une
dizaine d'années, il partage son
temps entre la France et l'Espagne. Il
s'intéresse à l'histoire
et aux traditions de ce pays en pleine
mutation depuis la mort de Franco,
trouvant là une source
inépuisable d'inspiration.
- Une autre de ses
passions est la littérature
policière. De grands
maîtres classiques du genre tels
Hammet, Chandler, Himes… et des auteurs
plus récents tels Connelly,
Lehane, Ellroy, Jonquet, Fajardie,
Daeninckx et bien d'autres, ont une
place de choix dans sa
bibliothèque. Ce sont ces deux
passions qui ont poussé
Frédéric Bertin-Denis
à se lancer dans
l'écriture de son premier roman
: " Matador ".
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- Sous le sable des
arènes II
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- Ce second tome
également écrit par
François-Xavier
Gauroy marque
le retour dans l'univers fascinant de
la tauromachie. Cinquante Belles
Histoires taurines dressent un panorama
somptueux et inattendu des toreros et
de leur monde. A travers cette
plongée dans les arènes
et dans le coeur des toreros, vous
découvrirez combien sont proches
le doute et le triomphe, la peur et
l'héroïsme, l'ombre et la
lumière Vous decouvrirez aussi
les surprenants debuts d'Enrique Ponce
ou encore le destin fulgurant de Manuel
Granero qui fascina James Dean ...
François-Xavier Gauroy,
né en 1957 à Biarritz est
écrivain-scénariste.
Sensibilisé tout jeune, par le
cinéma, au monde de la corrida,
il devient aficionado et critique
taurin (Toros). Sa passion se nourrit
de la beauté du spectacle et de
la fête et des ambiances qui
l'accompagnent mais également
des anecdotes, des rencontres, des
aventures humaines qui alimentent le
monde de la tauromachie. L'auteur ne
tente pas de convaincre à tout
prix, il accepte la cruauté
taurine et respecte ceux qui s'y
opposent, il ne force pas le
néophyte mais, grâce
à sa passion et à sa
connaissance, sait séduire par
les mots, inviter à la
découverte et partager des
sentiments forts autour de ces belles
histoires de la corrida
- A l'occasion des Ferias
de Pâques d'Arles,
François-Xavier Gauroy, auteur
de plusieurs ouvrages sur la
tauromachie, dédicacera son
ouvrage paru aux Editions
Timée, "
Sous le
sable des arènes, tome II
"
à la Boutique des
Passionnés (14, rue
Réattu, 13200 Arles), le samedi
22 mars, de 14h30 à
16h30.
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- Nouveauté
litteraire
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- " Manolete, une histoire
" de Jean
Chalvidant aux Editions
Cairn … Un
torero certes, célèbre,
certes encore ! Peut être
même le plus
célèbre de tous et sur
lequel tout ou presque a
été écrit …. Sauf
ce retour sur un parcours trop court,
oscillant entre la banalité de
toutes les vies et l'originalité
mouvementée de chacune d'elles,
le talent en plus … L'auteur, docteur
en civilisation espagnole, est
aujourd'hui reconnu comme l'un des
meilleurs spécialistes
français sur l'Espagne Dans ce
roman poignant, il livre toutes ses
passions pour l'Andalousie et le monde
des toros, essayant de rétablir
la vérité des faits par
rapport à certaines "
légendes " et propos
rapportés. Parallèlement
à la sortie du film de Menno
Meyjes " Manolete ", J. Chalvidant nous
conte la vie tumultueuse du legendaire
torero... Manolete, un homme avec ses
angoisses, ses doutes, ses certitudes,
ses amitiés et son amour fou
pour Lupe Sino, jeune comédienne
controversée qui scandalisa
l'Espagne devenue franquiste.
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- Temporada
2007
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- A l'initiative de
Michel Volle et de Jérôme
Bouche est parut un livre aux Editions
Atlantica dont le titre est :
Temporada
2007. Tout ce
qu'il faudra retenir de cette saison
résumée sur 256 pages au
format 17x24 avec 50% de photos
couleurs et noir et blanc auquel ont
participé entre autre Nadine
Regardier, Bertrand Caritey, Philip
Kugener, Th. Ripoll …. Un cadeau
à offrir ou à se faire
offrir Vous pouvez également le
commander sur le site de
l'éditeur, www.atlantica.fr
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- L'envers de la
cape
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- Signé Simon
Dombs, pseudo Casas. Cest le nouveau et
3eme livre que vient d'écrire le
directeur des arenes de Nimes et
qu'edite Fayard. La tauromachie comme
terre promise. La gloire des
arènes pour reconquérir
une Espagne d'où furent
chassés ses ancêtres
marranes. Son nom en lettres noires sur
le revers d'une cape pour en finir avec
ses origines cachées.
Voilà ce qu'il voulait. Mais
comment revêtir un costume de
lumière quand on s'appelle Domb
? Comment se forger un destin
ibérique quand on est né
à Nîmes de parents
exilés ? Sitôt franchies
les Pyrénées, le jeune
torero se choisit un autre patronyme. "
Casas " donnera mieux sur les affiches.
Aujourd'hui son passeport porte la
mention " Domb Pseudo Casas ". Et
parfois il
- lui semble que c'est
toute sa vie, tout son être qui
se résume à ce
nom-là : Pseudo.
- Fragments
autobiographiques mêlés
aux plus belles histoires - vraies ou
inventées - du mundillo
composent cette quête
d'identité romanesque. Du sable
brûlant de la piste au silence
des chambres d'hôtel s'y
déploie tout ce que la corrida
peut susciter d'émotions
extra-taurines. Pourtant les errances
ramènent toujours aux
arènes. L'endroit où
l'homme, face à
- la mort, est sûr
d'être lui-même.
-
- Manolete
-
-
-
- Dans une Espagne en
convalescence après la Guerre
Civile, Manolete est devenu une sorte
de héros national, dont le
souvenir restera d'autant plus fort
qu'il meurt
prématurément, en 1947,
des suites d'une blessure reçue
dans l'arène. Déjouant
les poncifs et évitant les
lourdeurs, François
Zumbiehl réussit
l'exercice littéraire
périlleux que constitue cette
autobiographie fictive d'une centaine
de pages. Retraçant les
principaux épisodes de la vie de
Manolete (l'enfance dans l'ombre du
père, torero lui-même,
mort avant quarante ans, l'initiation
au monde de la tauromachie,
l'éclosion précoce de
dispositions exceptionnelles, le chemin
vers la consécration,
semé d'étapes dans
d'obscures arènes, les
amitiés et l'amour), il y
mêle sa propre vision du
caractère et de la
personnalité de Manolete, homme
à la fois grave et fragile,
Espagnol plutôt conservateur mais
torero novateur voire baroque,
combattant plein de force et de
maîtrise, mais qui ne cessera de
jouer avec sa vie jusqu'à
l'issue fatale.
- François
Zumbiehl a occupé, en France et
à l'étranger, plusieurs
postes liés à
l'éducation et à la
culture. Il a été
notamment attaché, puis
conseiller culturel en Espagne de 1975
à 1982. Il est aujourd'hui
Directeur de la Culture et de la
Communication de l'Union Latine,
organisation culturelle et
d'enseignement qui compte trente-huit
pays membres et dont le siège
est à Paris. Une première
édition de ce livre
(épuisée) est parue sous
le titre Le Calife (Manolete) chez
Marval en 1995. Autres ouvrages de
l'auteur : Des taureaux dans la
tête (Autrement, 1987,
réédité en 2004)
et Des taureaux dans la tête,
tome 2 (Autrement, 2004) ; El torero y
su sombra (Madrid, Espasa-Calpe) ;
Taurines (Climats) ; Ignacio Sanchez
Mejias, ou la vie à contre
courant, in Llanto por Ignacio Sanchez
Mejias (Actes Sud).
-
- Tauromachie et
flamenco, polémiques et
clichés
-
-
-
- Espagne, fin
XIXe-début XXe siècle
écrit par Alvarez, Sandra Aux
Editions L'Harmattan, Paris dans la
collection Recherches et documents
- Au tournant des XIXe et
XXe siècles, le flamenco et la
tauromachie sont devenus, en Espagne,
l'espace de déchirements
internes, au point qu'un mouvement
anti-flamenquiste a
émergé. L'auteur analyse
les raisons de ce rejet qui met en
lumière les questions que la
nation espagnole se pose sur son
identité et son devenir et les
rapports complexes entre l'Andalousie
et le reste du pays.
- Entre le XIXe et le XXe
siècle, alors que le flamenco et
la tauromachie étaient les
ambassadeurs de la culture espagnole
à l'étranger, ils
devenaient, en Espagne, l'espace de
déchirements internes. Face
à cette image futile ou sauvage,
émerge, en Espagne, un front
"anti-flamenquiste" qui lutte à
la fois contre le flamenco et les
corridas.
- La querelle des
partisans et des détracteurs
n'est pas si simple qu'il y
paraît. Ce livre tente de
comprendre pourquoi un très
grand nombre d'intellectuels, de
journalistes et d'hommes politiques ont
alors rejeté ces deux aspects
incontournables et populaires de la vie
artistique espagnole.
- Le débat sur la
nocivité des corridas et des
cafés chantants renvoie aux
questions essentielles que la nation
espagnole se pose sur son
identité et sur son devenir. Ces
polémiques
révèlent la
difficulté qu'ont eue les
Espagnols à se définir
culturellement et à se
construire identitairement. Elles
montrent surtout la complexité
des rapports qu'entretiennent, à
une époque de tensions et de
mutations, l'Andalousie et le reste de
l'Espagne.
-
- La nuit du
Sagittaire
-
-
-
- " Hors les routes, nous
allions à la découverte
d'un monde qui allait
disparaître. Nous avions une
introduction qui les valait toutes,
à une époque où
personne ne pouvait se recommander de
qui que ce soit. L'Espagne vivait sous
la haute puissance du clergé. Or
nous possédions une lettre du
curé des
Saintes-Maries-de-la-Mer pour tous les
autres curés que nous pourrions
rencontrer en chemin. "
- Dans une succession
d'instantanés et impressions de
voyage, Denys Colomb de Daunant brosse
ici un portrait de l'Espagne
après la guerre civile. C'est
toute la fierté et la culture
espagnole, exsangues sous Franco, qui
se révèlent ici dans le
culte des chevaux et de la tauromachie,
mais aussi dans celui de la danse et du
flamenco. Rencontres étonnantes,
burlesques, mélancoliques, mais
toujours riches d'enseignements,
émaillent ce recueil au ton
volontairement anecdotique, pour mieux
restituer la vraie vie de cette Espagne
mistralienne.
- Haute figure symbolique
de la Camargue, Denys Colomb de Daunant
incarnait à lui seul le
patrimoine culturel de la Provence et
du Languedoc.
- Né en 1922
à Nîmes, ce personnage
hors du commun était un homme
aux multiples talents : esprit curieux,
grand voyageur, épris d'art et
de création, poète,
écrivain, scénariste,
cinéaste, photographe, grand
cavalier, manadier… il a toujours
fréquenté et
été honoré de
l'amitié des plus grandes
personnalités du monde des arts
et des lettres. Père du
mondialement connu Crin Blanc, il en
écrivit l'histoire et le
scénario et co-réalisa en
1952 le film qui a bouleversé
des générations
d'enfants. Il rejoint le Paradis des
chevaux sauvages le 22 mars 2006,
quelques jours avant la parution de ses
trois derniers livres, qui l'ont
accompagné dans ses derniers
moments…
- Les deux autres livres
: Les trois
paradis :
Années 50. Dans le désert
saharien, un marchand ambulant,
annonciateur de modernité, relie
les derniers nomades, expression d'un
passé immuable, au monde des
villes. Le
Séquoia est une surprenante
fable d'anticipation écologiste
avant l'heure, sur une menace
aujourd'hui devenue
réalité
-
- Le regard des
Choses
-
-
-
- L'Union des
Bibliophiles Taurins de France vient de
faire paraître un ouvrage dans
l'air du temps: Le Regard des choses,
pertinemment sous-titré Histoire
française de la taurophobie.
L'auteur Emmanuel de Monredon a
déjà publié aux
mêmes éditions "La Corrida
par le droit" qui fait
autorité.301p. 24 €.
- Le Regard des Choses
est un ouvrage sur la tauromachie et
ses détracteurs. L'auteur
propose une galerie de portraits,
d'hommes de lettres, militaires,
politiques, etc., qui exposent leurs
arguments et font valoir leurs
droits
- La corrida ne laisse
pas indifférent. Certains s'y
attachent passionnément,
d'autres la vomissent. On aurait tort
de croire que ses détracteurs,
en France, constituent une cohorte
récente, née au XIXe
siècle, à la remorque des
toutes nouvelles sociétés
protectrices des animaux. Le spectacle
taurin (la course à l'espagnole,
aujourd'hui, " le combat du taureau ",
hier) porte en lui, depuis qu'il
existe, ses contradicteurs. Les hommes
et les époques façonnent,
modèlent en quelque sorte, cette
opposition permanente. Les motivations
changent, les personnages
défilent, les idées
évoluent, la législation
se modifie… et, curieusement, la
contestation demeure !
- L'auteur propose ici
une galerie de portraits, de Joachim Du
Bellay à Théodore Monod;
du prince de Conti à Paul
Léautaud ou Brigitte Bardot, en
passant par nombre de gouverneurs
autoritaires, quelques préfets
irascibles, et autres
évêques lanceurs
d'anathèmes! Les hommes de
lettres et les philosophes, les gens
d'Église et les militaires, les
politiques et les savants, tous,
exposent leurs arguments et font valoir
leurs droits. À tous, il donne
loyalement la parole et enregistre
leurs doléances… mais, il
éclaire aussi, sans en avoir
l'air, certains petits détails
soigneusement tenus cachés,
complète les dossiers de
pièces inédites ou mal
connues, dévoile les dessous de
quelques affaires et, par une fine
ironie, porte l'estocade finale,
affirmant bien dans quel camp il se
trouve !
-
- "Les Nouvelles Taurines
de Toreria
-
-
-
- 11 textes, 11 auteurs,
couverture de José Manrubia aux
Editions Atlantica. 125 pages
- -C'est en créant
notre site consacré à la
tauromachie, « www.toreria.net », que l'on s'est
aperçu d'une chose. Avec
l'arrivée d'Internet, les gens
se remettaient à écrire,
et avec un plaisir apparent. Une
première initiative
baptisée « Paroles
d'aficionados » nous avez
confortés dans nos convictions.
Des petits textes, des poèmes...
Les gens témoignaient d'une
envie d'écrire et nous avons
décidé de les laisser
s'exprimer. Pour ce premier concours de
nouvelles littéraires taurines,
trente auteurs ont participé,
venus de tout l'Hexagone et du nord de
l'Espagne. Onze textes, les plus
intéressants, retenus par le
jury, sont publiés dans ce
recueil. Onze textes écrits par
une majorité d'aficionados qui,
en fonction de leur sensibilité,
apportent une image différente
de l'écriture taurine. Des
histoires d'hommes, des nouvelles
policières, des écrits
où l'humour côtoie les
sentiments et la passion. Un petit tour
dans le monde atypique et
envoûtant des toros
- Le livre est disponible
dans toutes les bonnes librairies au
prix de 15
euros ou vendu
en ligne directement chez Atlantica,
rubrique nouveautés
(www.atlantica.fr) ou à la
Boutique des Passionnés,
rubrique Tauromachie page 25
(www.passion-toros.com). Plusieurs
séances de dédicaces sont
d’ores et déjà
prévues avec les auteurs, les
lieux et dates sur le site au fur et
à mesure.
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- Retour
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